Dom Pérignon : Plénitude P2 Rosé 1996

La maturité d’un champagne rosé concentré et tendu

La propriété

Le champagne Dom Pérignon doit son nom au célèbre moine et procureur de l'Abbaye d'Hautvillers en 1668, Pierre Pérignon dit Dom Pérignon. Selon la légende Pierre Pérignon aurait découvert ce que l'on appelle aujourd'hui la méthode champenoise. Pour l'anecdote, il enseignera cette méthode en 1669 au bénédictin Thierry Ruinart qui permettra ainsi à Ruinart de devenir historiquement la première maison de Champagne en 1729. Depuis le 1^er janvier 2019, Vincent Chaperon a succédé à Richard Geoffroy en tant que Chef de Caves de Dom Pérignon.

Le vin

Concept unique et propre à Dom Pérignon, Plénitude P2 correspond à une nouvelle expression de Dom Pérignon, après quinze années de cave. Patiemment élevé et précieusement conservé dans les caves de la maison, Plénitude P2 rosé 1996 apparaît alors dans son éclatante vitalité en dévoilant toute sa longueur, son ampleur, sa profondeur et son intensité.

Le millésime

Année contrastée, 1996 a été marqué des périodes pluvieuses suivies d’un été capricieux. Les fortes chaleurs du mois d’août ont finalement permis d’obtenir d’excellentes maturités avec des vendanges qui se sont déroulées entre le 16 septembre et le 1^er octobre. D’une exceptionnelle maturité, 1996 est marqué par un incroyable équilibre entre puissance et acidité.

Assemblage

Plénitude P2 Rosé 1996 de Dom Pérignon est issu d'un assemblage de pinot noir et de chardonnay.

Dégustation

Nez
En dégustation, le nez du Plénitude P2 Rosé 1996 de Dom Pérignon séduit par ses notes d’arômes fermentaires évoquant le malt avant de laisser place à des notes de fruits mûrs d’été et de fraises des bois. Des notes tourbées apparaissent ensuite.

Bouche
Au palais, la bouche se révèle tout en contraste alliant concentration et une énergie audacieuse. Progressivement, la bouche laisse s’exprimer toutes ses saveurs avec force et tension. Avec fermeté, la finale s’achève sur de légères notes épicées et vanillées renforçant encore un peu plus cette impression de paradoxe qui signe cet éblouissant millésime 1996.